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  • Parlez-vous coiffeur?

    J'en appelle aux coiffeurs et coiffeuses dans l'assistance et même à leur entourage, car à force de vivre avec eux, vous devez comprendre leur... langage, non?

    Oui parce qu'à première vue (enfin écoute), le coiffeur parle la même langue que nous. Bon, Josiane du salon de Saint Robert dit le cheveu pour parler des cheveux mais pas grave, hein. Tous ses collègues font ça aussi, c'est du langage pro, ok.

    Pourtant combien sommes-nous à être sortis d'un salon de coiffure, des larmes plein les yeux et la gorge serrée, incapables de sortir un mot à part peut-être un "putain mais elle rien compris" : des milliers, des millions?

    En parlant de ce phénomène étrange autour de moi, j'ai vite compris que je n'étais pas la seule à ne pas parler "le coiffeur".

    Jeanine qui pleure ses longueurs perdues avait demandé "un petit 4 cm en moins" et a vu tomber des mèches d'au moins 8 cm.

    Paulette voulait un léger balayage et ressemble désormais à un caniche couleur pêche.

    Andrée ne voulait surtout pas de frange et se retrouve avec des doubles rideaux.

    Sabine ne voulait sur tout pas une coupe sophistiquée et ressemble désormais à Lorie échappée des années 80 : méche sur le côté beaucoup trop courte alors qu'elle déteste avoir les cheveux dans les yeux, cheveux effilés, avec des mèches plus courtes derrière... 

    Voilà tu l'as bien compris cette Sabine, c'est moi. 

    Et j'envisage sérieusement de proposer à un éditeur le dictionnaire bilingue "français/coiffeur", donc si t'es coiffeur rejoins moi, tout le monde y gagnera!

     

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  • Quand Pierrafeu blague, ce n'est pas triste

    Les associés sont amateurs de blagues et ont même eu une période "j'invente mes propres blagues". Période pas facile, pour nous leurs parents car il fallait quand même esquisser un sourire alors que l'histoire n'avait ni queue ni tête.

    Et surtout aucune trace d'humour.

    Ah, c'est pas facile de partager l'humour avec les plus grands.

    Dans nos associés, Pierrafeu a pourtant depuis son plus jeune âge (ouais bon, il n'est pas très vieux non plus) cette capacité à rire avec les adultes, cet humour que sa maîtresse de moyenne section aurait vu comme de l'insolence "s'il avait trois ans de plus".

    Bref, il est assez déconneur.

    Justement hier matin, il décide de nous raconter la dernière blague transmise par leur pote Raoul.
    Au bout de deux secondes, Zorro fonce sur lui pour le faire taire : "arrête, on va se faire crier". 

    Mais c'est plus fort que Pierrafeu, il faut qu'il livre cette blague que son frère juge tendancieuse.

    "-Papa, c'était quoi tes activités préférées à l'école?

    -Tu veux dire "les matières", Pierrafeu?

    -Ouais.

    -Euh, les maths et la géo.

    -Eh, ben moi c'est maths et dessin."

    Et devant nos sourires à peine contenus, il s'est mis à chanter : "maths et dessin, maths et dessin, maths et dessin..."

    Voilà Pierrafeu a réussi à lier ses deux passions : l'humour et les seins.

     

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    Vivement qu'il s'intéresse au Chat...

     

  • Classe croûte

    Ces derniers temps dans l’entreprise, les associés ont une nouvelle addiction culinaire :

    Le « casse-croûte autoroute »
    Hein ?

    Récemment, nous sommes allés en Charente avec aller/retour express pour un baptême.

    Pour l’aller, j’avais prévu quelques sandwichs maison à base de baguette qui furent dévorés dans les embouteillages parisiens (très bon moyen d’occuper les associés, d’ailleurs). Pour le retour je n’avais rien prévu puisque nous prenions la route juste après le repas, lequel s’était terminé vers 16h.

    Quelques gâteaux et une bouteille d’eau feraient l’affaire, les associés s’étant gavés de gâteaux apéros, petits fours et avaient même mangé à table !

    Et surtout je comptais sur leur endormissement rapide, après un aller de 700 km, une nuit agitée à l’hôtel, un repas de baptême, un tour en barque et un départ à plus de 20h.

    Mais, vous connaissez les enfants ?
    Moi aussi pourtant.

    Donc ils ne se sont pas endormis et ont hurlé leur faim moins de deux heures après le départ.

    A la première station service, on leur a acheté les fameux sandwichs triangle avec plus de beurre que de jambon. Ils les ont trouvés « savoureux » et « exquellents".

    C'était pour eux, les gars de la campagne, « so exotique » de manger au milieu des voitures avec les effluves de gas-oil dans les narines. 

    Maintenant, dès que j’ai la flemme le soir, c’est soupe et casse-croute d’autoroute.

    Du Saint Moret, du jambon , quelques tomates ou des concombres quand ils ont envie de changement et surtout, surtout, la découpe en triangle !!

      

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