Donner des fleurs c’est ce qu’il y a de plus beau

 

Moi, les fleurs naturelles j’adore ça. Et pas que pour mon enterrement. Mais Grand Mari, il l’a pas compris. Je n’ai eu que de rares bouquets. Huit en tout.

Un en 1997, quand on était étudiants, il avait ramassé du muguet. J’ai fondu.

Un en 1999, quand j’ai eu mon Deug. Cinq roses rouges. J’ai fondu.

Un en 2000, quand on s’est fiancé, mais ce bouquet n’avait aucun charme c’est sa mère qui l’avait commandé. J’ai pas fondu.

Un en 2003, quand on s’est marié. J’avais fondu avant (Kilos parlant). C’était moi qui l’avait choisi (et payé finalement !)

Un en 2004, après la naissance de Zorro. J’ai fondu (sentimentalement parlant)

Deux d’un coup en 2006, quand les jumeaux sont nés. Je me suis marré, un pour chaque gamin, c’était bien vu !

Un en 2008 pour mon anniversaire. J’ai fondu en larmes. Pour mes trente ans, j’espérais autre chose qu’un bouquet de roses !

Un en 2010 pour la Saint Valentin. J’ai fait la gueule. (à cause de mon anniversaire) (Ouais deux ans après)

Depuis RIEN. Pas un bouquet, pas une fleurette, pas un épi de blé mélangé à des marguerites. Alors, je vais lui mettre en page de démarrage sur l’ordi, le jeu organisé par l’office hollandais des fleurs Val’hor  sur  http://donnerdesfleurs.fr ! 1 an de fleurs à gagner CHAQUE JOUR ça devrait lui donner envie ! Parce que c’est ça le jeu, évoquer l’'effet fleur pour soi, tout ce que « Donner des fleurs » nous inspire, en postant une photo et un message sur le site. Et vous, il vous inspire quoi, l’Effet Fleurs ?

 

Donner des fleurs, c’est donner de soi.

Donner des fleurs, c’est donner la chair de poule.

Donner des fleurs, c’est donner la pêche…

Donner des fleurs, c’est donner du bonheur

…..

Elle pas terrible la chemise jaune de Grand Mari? 

Article sponsorisé

Vidéo virale par ebuzzing

Les cigognes sont là!

Pas celles qui apportent les bébés (j'ai donné), non les cigognes en ballade par chez les associés!

Alors, les filles on se promène?

et aussi ce week-end :

 

 

et encore

 

 

Bonne semaine!

 

Pierrafeu a testé pour vous l’envoi de mini caddie dans le rayon vinaigre du supermarché

Bon, voilà tout est dans le titre.

Enfin, non pas tout.

-Pas la peur qui m’a envahi quand j’ai entendu l’entrechoquement des bouteilles.

-Pas, la prière de 3 secondes « faites que ce ne soit pas eux Saint Cora ! »

-Pas, les bruits de verre qui s’éclatent contre le sol.

-Pas, ma position figée, attendant des pleurs (et espérant toujours que ce ne soit pas eux)

-Pas, les cris de Pierrafeu et la consternation de Rosette devant tout ce vinaigre sur son frère.

-Pas, mon sprint, les bras chargés pour les rejoindre (ils étaient juste de l’autre côté mais j’ai eu l’impression de courir un 100 m pour ces 3 mètres)

-Pas, ma tentative de calmer mon Petit Homme après avoir vérifié qu’il n’avait rien, malgré toutes ces tâches de vinaigre sur le corps.

-Pas, ma réponse à la Mémé qui me disait « mais laissez-le crier, voyons, ça lui fait du bien »

-Pas, Pierrafeu qui criait « oh, non ! pas la sécurité, pas la sécurité ! »

-Pas, le sentiment de honte que j'ai ressenti, alors qu’une bonne dizaine de personnes nous encerclaient.

-Pas, le forcing pour emmener Pierrafeu à l’extérieur du rayon et se faire désinfecter le bras.

-Pas, le tournis et le coup de chaud qui ont failli me faire tomber.

-Pas, mon ras-le bol de ce gosse qui malgré ce qui vient d’arriver se roule pas terre parce qu’il n’ a plus son caddie.

-Pas, ma lassitude d’être obligée d’emmener les gosses faire les courses.

-Et enfin, pas l’odeur de vinasse qu’il y a encore dans la bagnole, deux jours après.

Même avec la coupe de cheveux, je rêve d'être un Playmobil

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