En ce moment les associés enchaînent les maux et m’adressent leurs mots.
En ce moment j’ai envie de hurler « Mais pourquoi moi ? Pourquoi tu ne t’adresses pas à Papa qui est juste à 30 cm de moi ? Pourquoi tu me dis toujours à moi que tu as mal au ventre/ à l’oreille/à la jambe/ à la tête … Pourquoi même si Papa se lève la nuit c’est toujours moi qui finis par donner le médicament, le câlin…»