Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

nuits hachées

  • Faut-il faire une croix sur les nuits complètes quand on est parents ?

    Il y a quelques jours sur Facebook, Clem demandait si certains parents d’enfants de plus de 4 ans avaient la joie de connaître les nuits sans réveil.

    Et là je ne veux pas décourager les parents de jeunes enfants en pleine période de nuits hachées comme des steaks mais la nuit complète comme la galette vous n’êtes pas prêts de la dormir.

    Forcément avec quatre enfants, elle quadruple les occasions de petites visites nocturnes à ses associés vous vous dites.

    Et vous vous dites bien.

    Mais parfois un seul associé suffit. Par exemple, Milou a commencé à dormir plus de 5 heures d’affilée vers 9 mois.

    Vers 18 mois, il s’endormait sans peine mais nous devions nous lever plusieurs fois par nuit et rester avec lui pour le bercer près du mur parfois plus de deux heures. Des crises de larmes ou des yeux grands ouverts, on savait parfois qu’à deux heures du matin, la nuit était pliée. Pierrafeu avait vécu la même chose au même âge, on avait cru devenir cinglés et ça recommençait.

    Et puis à l’entrée à l’école, il a eu des difficultés d’endormissement. Avec la sieste de l’aprem, impossible de le coucher sans 10 levers. Certaines fois vers 23 h à bout de patience on le collait dans notre lit. Et c’était toujours une nuit magique à base de coups de pieds, de respiration de cochon et de petites discussions avec son chien-chien 

    Avec l’entrée en moyenne section, on a retrouvé nos soirées.

    Mais toujours pas nos nuits : cauchemars, pipi, soif et des fois rien et ces putain de douleurs de croissance. 

    Tous les quatre y passent «  j’ai maaaaaaal au genou/à la cheville/à la jambe Maman.»

    Notre record en une nuit : 14 levers, sous vos applaudissements.

    C’est toujours moi qui m’y colle, je masse, je masse, je masse. Ca se termine par de l’advil ou du doliprane quand j’en suis presque à m’endormir dans le lit de l’associé et que la douleur ne passe pas. 

    Le plus rigolo c’est quand même, quand l’associé te certifie que ça va mieux, que ça va aller, que c’est bon, tu peux aller te recoucher Maman et qu’il se remet à pleurer une fois que j’ai passé la porte de ma chambre (on dort au 2 étage et les associés au 1er).

    Je vous parle pas des saignements de nez, des pipis au lit et des changements de draps en pleine nuit.

    Ni de mes chutes dans l’escalier quand je descends au radar. Ni des engueulades qu’on a parfois en pleine nuit avec Grand Mari.
    Et les insomnies, que ses levers répétitifs entrainent, je ne vous en parlerai pas non plus.

    Un jour ou plutôt une nuit on dormira nos 7 heures sans un cri, sans un pipi, sans les maux de genoux.

    Mais j’ai quand même de grands doutes, la rumeur dit que les parents d’ados dorment encore moins bien que les parents de jeunes enfants.

    Amis parents courage !

    PS : grosse pensée pour Marie <3  

    douleurs de croissance,nuit complète,sommeil parental,nuits hachées,enfant dort mal,les parents de jeunes enfants ne dorment plus,nuit agitée enfant