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Sabine et associés - Page 156

  • Breaking news: édition spéciale mercredi

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    De notre correspondante en direct de l'entreprise.

    Oui bonjour, Jean-Claude! J'interromps ce journal pour vous annoncer une nouvelle capitale qui pourrait changer la vision de la célèbre pédégère sur ses associés.

    Depuis ce matin AUCUN associé n'a mis sur la tronche d'un autre. 

    Pourtant dès hier soir, nous pouvions prévoir le pire, avec des associés surexcités à l'extrême et des affrontements assez violents toujours à cause du ballon de baudruche.

    Mais les tensions se sont apaisées ce matin, les deux clans se réunissant pour jouer ensemble tranquillement. Oui, Jean-Claude, vous avez bien entendu, à part une porte claquée, nous ne comptons aucun blessé par morsure ou autre bourre pif dans les rangs de l'entreprise.

    La pédégère a même réussi l'exploit de surveiller les devoirs de Pierrafeu et Rosette sans monter dans les décibels. 

    Il y a bien eu quelques invectives ce midi, essentiellement à cause de l'absence de Grand Mari occupé aux semis de blé, mais vraiment on rarement vu aussi bonne ambiance un mercredi dans l'entreprise. 

    Néanmoins, la journée n'est pas terminée et je n'hésiterai pas à reprendre l'antenne pour vous tenir informer de la suite des évènements.

    A vous les studios!

  • Je suis de mauvaise humeur ce matin, y'a des matins comme ça!

    (Ne me dis pas merci pour l'air de cette chanson que tu as désormais dans la tête, c'est cadeau, enfin cadal comme dit la blogueuse)

    Ce matin un lapin (ne me dis pas merci, bis), les associés m'ont rendu tarée.

    Rien de moins.

    Pierrafeu a lancé la machine à rendre dingue sa reum en hululant (mélange de chouinerie et de cris) "je veux une cravateeeeee". Et je sais pas pourquoi mais ce matin, ça m'a collé une pression dans la poitrine.

    "Prends-en une dans ton armoire!" je lui hurlai dis.

    J'ai quand même du quitter la tignasse de Rosette (pareil, la Rosette, c'est le cirque tous les matins pour la coiffer, demain je la rase si elle tique au moindre noeud), parce que môsssieur faisait tellement de cinéma qu'il ne m'a pas entendue.

    "Mais c'est pas celle-laaaaaa que je veux, c'est celle que Milou il avait hieeeeer".

    MON DIEU. MY GOD. 

    Et c'était reparti en petits cris de frustration mais cette fois ci couverts par les appels de Grand Mari : "Je te préviens Pierrafeu, si tu ne descends pas TOUT DE SUITE, ça va mal aller"

    J'avais la tête prête à exploser. 

    Le petit-déj a été pire. Entre les chocapics tombés au sol et les disputes pour avoir le ce putain de ballon de baudruche dont TOUT LE MONDE SE FOUTAIT HIER, j'avais les mâchoires de plus en plus serrées.

    Et Zorro a encore usé de son nouveau passe-temps : faire brailler ses frangins. Il se délecte de les voir partir au quart de tour et me lance un regard au passage pour voir jusqu'où il peut aller.

    Ben ce matin, il n'a pas pu aller loin.

    J'ai poussé une gueulante digne d'un cri de Gaulois face aux Romains. 

    Ca les a tous calmé.
    Mais trop tard, je suis de mauvaise humeur. 

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    hou le beau montage pourri (comme mon humeur)

  • Le (court) billet mimi du lundi matin

    Samedi soir, nous sommes à table et Grand Mari a craqué pour des huîtres.

    De tous les associés, seule Rosette aime les mâchouiller.

    Elle en est déjà presqu'à huit quand Zorro, soucieux du bien être gustatif de sa soeur déclare presque outré :

    "C'est quand même pas normal qu'il n'y ait jamais d'huîtres à la cantine!"

    C'est beau l'amour fraternel... 

    enfant mange des huîtres

    ...c'est beau comme le lever d e soleil de ce matin