En ces temps de présentation des vœux, il y a deux endroits où je ne vais plus hurler "bonne année" chaque début de janvier.
Avec le temps, je me suis habituée à ne plus franchir les entrées de ces deux maisons. Pourtant plus les années passent, plus les associés grandissent et plus elles me manquent.
Ce sont les maisons de mes grands-parents.
Le jeu de Paume, après les patates à la cendre