Dans l’entreprise, nous sommes dotés d’un spécimen de paysan-chemise-à-carreaux. Hiver comme été. Alors qu’un simple tee-shirt ferait très bien l’affaire, surtout l’été, mon paysan n’en démord pas, la chemise c’est classe pour conduire le tracteur ou la moiss’batt’.
Oh parfois il met des polos. Parfois.
Au début de notre relation, dans l’ancienne époque comme dit Zorro, je repassais quelques fois ses chemises.
L’hiver, je ne faisais que le col, hop sous le pull, ni vu ni connu.
Parce qu’il faut bien que je vous l’avoue : je déteste repasser. Pour faire bonne figure devant belle-maman, je n’ai bien sûr jamais avoué ma répulsion vis-à-vis de la table à repasser, lui préférant grandement la table basse du salon, sur laquelle je posais les pieds pour une soirée détente bien méritée.
Et puis on a eu quatre associés en cinq ans et mon excuse pour reléguer la table à repasser au rayon antiquités était toute trouvée : mais je n’ai pas de temps à perdre avec le repassage !
Seulement Grand Mari a quand même regretté ses chemises bien repassées (enfin surtout l’été). Qu’il ait des regrets me faisait de sacrées belles jambes.
« Tu veux des chemises sans un pli ? Fais-le toi même le repassage ! »
Quand on a eu une aide ménagère, elle m’a proposé de faire un peu de repassage. Je n’en voyais pas la nécessité, le linge bien étendu, un pliage soigneux et hop… ni vu, ni connu.
Quand Grand Mari l’a su, il a recasé le dossier « chemises ». Bon, ok. Sauf que je ne savais même pas où était le fer !
« Allo, Grand Mari, il est où le fer à repasser ? Ah!? Tu l’as rangé dans le grenier ! » Je crois bien que l’aide ménagère m’a prise pour une cinglée.
Bref. C’est ainsi que Grand Mari eut à nouveau quelques chemises (pas toutes, faut pas pousser mes heures de ménages dans les orties non plus) sans un seul pli.
Et il a pris le pli, justement.
« Quand même, ça se range vachement mieux le linge repassé" (Oui parce que Mme Clean repassait en douce quelques autres fringues).
Alors voilà, comme je ne veux pas sacrifier les heures où Mme Clean intervient au seul repassage, j’ai eu grâce à Calor, une big révélation.
Je vais offrir une centrale vapeur Calor à Grand Mari pour son anniversaire !
Dans chaque domaine, Grand Mari n’aime que le top moumoute en matière d’équipement. Je vais donc me débarrasser du fer qui n’a pas de débit vapeur sous haute pression et de son copain le réservoir d’eau qui fuit partout pour une véritable station vapeur avec une production de vapeur sous haute pression dans sa base séparée.
Comme il sera heureux quand il verra cette vapeur haute pression envoyée au cœur des fibres du linge pour un résultat impeccable et rapide. Et grâce au réservoir séparé il pourra repasser SANS interruption.
En plus il se trouvera des points communs cette centrale vapeur : comme lui, elle est plus grande et plus volumineuse que les autres appareils car il faut bien ça pour contenir toute la technologie haute pression (mini-cuve + grand réservoir d’eau).
Et dernier point mais pas des moindres (vu qu’il n’a JAMAIS détartré la cafetière de toute sa vie), contrairement aux appareils à vapeur qui peuvent être confondus avec une VRAIE centrale vapeur, pas besoin de cartouches filtrantes !
De mon côté, en plus d'offrir un merveilleux cadeau qui ravira Grand Mari, je me ferai aussi plaisir puisque j'aime acheter en France et que les centrales vapeur Calor sont créées et produites en France dans l’usine de Pont-Evêque (Isère).
Voilà, cette idée ne fait pas un pli.
Bravo moi.
Grand Mari will have the power.