Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

fin d'année scolaire

  • Vous êtes arrivée à saturation

    saturation.JPG

    Merci Papa Cube, c'est merveilleux!

      

    C’est en ce moment ce que mon petit GPS interne me dit.

    Comme chaque année à la même période, j’ai de plus en plus de mal à ne pas perdre patience face à mes associés qui me disent « attends, j’arrive » et « Maman » à peu près 50 fois chacun/jour.

    A bout d’impatience, je devrais leur dire : « j’ai dit tout de suite s’il te plaît !» et « je ne suis pas là» et au lieu de ça je hurle « PUTAIN MAINTENANT » et « LACHEZ MOI BORDEL »

    Oui parce qu’en temps normal (avant mi mai donc) je reste polie avec mes associés. (Presque toujours).

    Eh, oui chers consoeurs et confrères de galère (vous, les parents, coucou), nous attaquons la période de fin de vie d’année scolaire.

    Période autrement appelée le marathon de fin d’année (couplé aux fêtes de famille, un régal). Un marathon de presque un mois et demi, faut être parent pour supporter ça ! 

    Et putain, je suis à bout de souffle. 

    Kermesses, fête de la musique et autre compétitions de natation où je vais devoir courir absolument PARTOUT.

    Où je vais même parfois devoir me dédoubler « Hannnn Maman, la fête de la natation tombe le même jour que la kermesse et moi je veux aller au deeeeeeeuuuuuuux ! »

    Cette période est celle de toutes les accumulations : fatigue, stress (familial et professionnel), associés fatigués donc surexcités, et préparation des prochaines GRANDES vacances.

    Oui, elles seront là bientôt et au sein de l’entreprise avec un Grand Mari paysan-chemise-à-carreaux au boulot non stop c’est bibi qui se récupère la gestion de l’entreprise.

    A moi le tordage de cerveau quant aux inscriptions au centre aéré, au largage chez les mamies, oncles, tantes… le jonglage entre les dates… pour la famille et le boulot.

    De quoi passer un été serein 

    Hummmm bonheur.

    L’hiver interminable (où ça le printemps ?) n’est pas étranger à ce léger passage à vide.

    Mais n’empêche, la fin d’année me fait chier saturer.