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  • Et là, c'est le drame

    Ce matin, Milou s'installe devant son bol de lait et décide d'y mettre des Miel Pops. Oh et puis non, ce sera des Chocapics. 

    Là, à cet instant, je remercie le dieu Kellogg's de ne pas avoir eu le temps de mettre les Miel Pops alors que FINALEMENT, le roi Milou voulait des Chocapics.

    Nous avions échappé au drame. 

    Oui car Milou est très susceptible du bol. Et l'épreuve du bol, chers parents, tu sais bien qu'elle se déroule le matin, cette période de la journée où personne n'est à prendre avec des cagettes (comme dirait Rosette).

    Mais la vie est pleine de surprises.

    Je n'ai pas eu le temps d'apprécier cet évitement qu'un autre malheur s'est pointé.

    J'avais mis le Nesquick AVANT les Chocapics.

    Et Dieu Milou aime que les Chocapics soient recouverts de Nesquick :

    "Mais Maman, qu'est ce que t'as faiiiiiiiit? Oh, non mais tu te rends pas compte, c'est pas possible!!"

    Et si c'était possible, moi la mère de quatre associés, ce 26 février j'ai pratiqué le fail du petit-déjeuner.

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    Rhoooo la nulle elle a mis les céréales avant le lait!

     

  • Virée parisienne, virée qu'elle sera bienne.

    Avec mon Directeur Général, cette semaine on va se faire un petit déplacement professionnel à Paris SANS les associés.

    Au programme notamment, le dernier spectacle de la troupe "Les 7 doigts de la main" qui sera joué au Casino de Paris du 27 février au 16 mars.

    Séquence 8 (c'est le nom du pestakle) c'est ça :

     

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    Du cirque poétique rythmé de performances artistiques...

    Ce sera une première pour Grand Mari et moi.

    Bien sûr, je reviendrai vous raconter ;)

  • Je veux des jours "enfants malades"!

    Il y a quelques jours Till demandait sur facebook avant sa rencontre avec le Ministre délégué chargé de la famille, ce dont justement on aimerait lui faire part en tant que parents.

    J'avais répondu : plus de places pour accueillir nos enfants.

    Mais là aujourd'hui, je voudrais bien lui dire à Mme Bertinotti combien il est difficile pour des parents de continuer leur activité pro en cas de maladie d'un (ou de plusieurs) enfant. 

    Pour mon cas je n'ai que trois jours enfants malades pour une année. Pas trois jours pour chacun de mes associés, non, trois jours pour les quatre. (Je suis a mi-temps, les temps complets ont donc 6 jours).

    Et ces trois jours sont vite passés à la trappe quand Rosette, Pierrafeu et Milou ont eu la varicelle en même temps en juin dernier.

    Je sais bien que certains n'ont aucune journée.

    Et justement c'est là que ça cloche. N'y aurait-il aucun moyen pour que chaque entreprise dispose d'un quota de jours en cas de maladie des enfants au moins jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge de 8 ou 9 ans?

    Et pour les entrepreneurs, la mise en place d'une aide de secours pour que leurs enfants soient gardés?

    Que nous parents puissions vivre de façon plus sereine notre vie professionnelle et donc être aussi plus productifs. Parce qu'un enfant malade, ce sont des nuits hâchées comme des steaks, des rendez-vous doc en pleine journée, de l'inquiètude et beaucoup de culpabilté de laisser son enfant "pas bien" pour aller bosser. 

    Car là j'en viens à craquer au moindre rhume, imaginant le pire et pensant et repensant à mon emploi du temps et à mon organisation.

    Et encore ici on a des solutions de secours : grands-parents (mais faut pas abuser) ou nourrice pour Milou quand il n'est pas trop malade (il faut penser aux autres familles) et encore Grand Mari quand c'est l'hiver et que les champs ne réclament pas trop de boulot.

    Bref, aujourd'hui, j'ai comme un léger passage à vide (avec Zorro malade alors qu'il devait aller au centre aéré et Milou que la nourrice ne peut pas garder ce mardi) et ce sentiment "oui, faites des gosses, mais débrouillez-vous! "

    Pas la peine de mettre en commentaire, "t'as voulu des gosses, alors assume" j'ai déjà eu.
    Merci.

    Lien sur le congé pour enfant malade