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  • Survivre à la sortie piscine avec quatre associés (ou plus)(ou moins), mes conseils.

    Ca claque comme titre, hein ?

    Non pas que je me prenne pour une doctorante en sortie es pistoche mais, mais, je dois dire qu’avec Grand Mari on a mis au point une petite technique qui nous permet d’emmener nos quatre associés à la pistoche sans en avoir des sueurs froides.

    La technique est tellement bien rodée que l’été dernier, j’y allais même seule avec les quatre.

    Alors voilà suivez le guide !

    Première étape : faire les sacs. AHAHAHA, logique vous vous dites.

    Oui, certes.

    Mais tout votre fourbi vous mettrez dans de GRANDS sacs. C’est hyper important pour qu’une fois les serviettes mouillées ayant pris trois fois leur volume rentrent sans encombre et sans juron dans les GRANDS sacs. Parce qu’en plus des serviettes il y a des brassards pour les plus petits (nous n’avons qu’une bouée pour Milou), le shampoing, les lunettes (hyper important les lunettes, même si elles restent sur la tête des associés), des biscuits, de la crème pour le corps (nan là je déconne, c’est la sortie pistoche pas spa).

    sortie piscine avec les enfants,aller à la piscine avec des enfants

    Les lunettes de Rosette qui resteront... sur son crâne.

     

    Deuxième étape : avant de partir, les associés passent leur maillot de bain. C’est bien plus pratique une fois arrivés à la piscine, pas la peine de se trouver une cabine surchauffée et d’arbitrer le conflit « nan c’est que je mets le premier mon maillot ».

    ATTENTION à ne pas oublier les sous vêtements !

    Troisième étape : une fois arrivés dans la zone où il faut se déchausser, demandez à vos associés de bien mettre leurs chaussettes à l’endroit et de les caser dans leurs chaussures.  Ensuite chaque associé prend sa paire à la main.

    Quatrième étape : une fois deux larges casiers trouvés, postez vos associés l’œil menaçant devant.
    La pistoche, ne l’oubliez pas c’est la jungle. Car tous les parents du canton ont eu la même idée sortie que vous.
    Prenez un premier associés et demandez lui de vous donner ses habits. Pliez soigneusement les vêtements et recommencez pour chaque associé.

    Mettez les chaussures dans un casier séparé.

    Cinquième étape : emmenez un grand sac avec les serviettes et le nécessaire pour la douche avec vous.

    Sixième étape : passez aux toilettes avant la douche pour éviter le pipi du petit dernier devant tout le monde à l’étape douche collective. (Vécu et pas validé)

    Septième étape : barbotez. (Oui parce qu’avec quatre associés ou plus dont un seul sait nager ne comptez pas trop sur l’enchaînement de longueurs. Le parent n’est que sacrifice)

    Huitième étape : la plus périlleuse à mon avis (et de par mon expérience). Prévoyez de rameuter vos troupes 15 minutes avant l’heure de sortie prévue. Par exemple, vous comptez quitter le bassin à 11H30, commencez à en parler à 11H15 à vos petits bulleurs.

    Car ils se feront une joie de se coller sous l’eau pour ne pas se laisser attraper. Même si vous avez leurs poumons (petits) de votre côté cette étape n’est pas simple : l’associé aime l’eau chlorée.

    Neuvième étape : direction la douche. Privilégiez les douches face aux vestiaires collectifs souvent désertées et savourez de voir votre petit dernier pisser sans complexe sans que personne d’autre ne le voie.
    Laissez vos associés (s’ils sont en âge de le faire) se laver. Surveillez juste le rinçage.

    Dixième étape : celle qui est la clé de notre succès. Mettez vos associés chacun dans un peignoir de bain AVEC une capuche. Pendant qu’ils attendent sagement (la piscine casse l’associé), lavez–vous.

    Onzième étape : tentez de trouver une cabine familiale. Si pas de cabine familiale, dites assez fort « pas de cabine famille dispo ? Ah, ça va être pratique avec les quatre ! » pour que Môdame Aimesonaise  dégage assez vite.

    Une fois dans la cabine, faites-les asseoir et prévenez-les fermement «vous ne bougez pas !»
    Toujours cassés et affamés, vos associés devraient se tenir à peu près tranquilles. (Cette option n'est pas garantie sans trucage).

    Douzième étape : donnez à chaque enfant son tas de vêtements et dites lui de terminer de se sécher (les dessous de bras, le zizi/la pépette…) et aidez les plus petits à s’habiller.  Si aucun ne peut se vêtir seul ( testé aussi), habillez-les un par un.

    Attention : ne pas leur mettre leur pull sinon vous risquez de retrouvez vos petits associés en nage une fois que vous serez habillé. 

    Treizième étape : faites sortir vos associés de la cabine, demandez leur se mettre sur le banc à côté et habillez-vous. Ou s’ils sont encore petits (vécu aussi) gardez-les avec vous (d’où la cabine familiale Môdame Aimesonaise) ou prenez deux cabines. 

    Quatorzième étape : passez au sèche-cheveux si nécessaire et remettez les chaussettes, les chaussures et les pulls.

    Voilà vous avez passé brillamment l’épreuve piscine avec vos associés , vous pouvez être fiers de vous !

    Ah, oui quinzième étape : à vous la machine de peignoirs et serviettes!


  • La requête dégueu du dimanche soir....

    requete dégueu.jpg

     

    Non mais allô quoi!

    Toi qui cherches pourquoi tu as la courante, passe ton chemin. 

    Le Maroilles c'est la vie. C'est MA vie et jamais, ô grand jamais ce met fin et délicat ne provoque ce genre de désagrément. 

    Parole de Pédégère.

     

  • Pourquoi les enfants préfèrent-ils le lit de leurs parents?

    Sur nos 4 associés, seul Milou a l'immense plaisir de nous mettre des coups de pieds dans les côtes, la tête, le dos et de la bave sur nos oreillers presque une nuit sur deux. 

    Ou six nuits sur sept. 

    "Ah, non, nous on ne prendra jamais un enfant dans notre lit ! Un enfant dort dans son lit, eh oh t'as pas fini sinon!"

    Qu'est-ce qu'on est con quand on est nulli.

    Enfin naïf plutôt. 

    Avant d'avoir Milou on a eu trois associés plutôt cool avec le sommeil de leurs parents.

    De quoi prendre de haut nos faibles collègues parents qui se laissaient envahir par leur progéniture!

    Car Pierrafeu a bien eu quelques périodes agitées avec veille de trois heures en plein milieu de la nuit mais JAMAIS il n'a terminé sa teuf dans notre lit. (Eh oh t'as pas fini sinon!)

    Et puis Milou est arrivé. 
    Et ce quatrième a refait de nous des nullis. "Mais qu'est-ce qu'il aaaaaaaaaa, pourquoi il ne veut pas dormiiiiiiir?".

    Pendant quelques semaines, on a tout essayé : les 1000 pas, la télé en pleine nuit, les chansons douces et moins douces, les biberons à plus de 18 mois, les engueulades parentales à trois heures du mat'.... oui parce que forcément à bout de fatigue tous les deux on finissait par une dispute Ô combien constructive "mais pourquoi tu l'as remis aussi vite dans son lit?! C'est à ton tour de te lever! J'en ai ras le bol que tu fasses semblant de ne pas entendre! Si tu fais semblant! Et puis j'en ai ras le bol de ta mère aussi!" Etc, etc, etc..

    Mais on ne baissait pas les bras: "non mais on tient bon hein, on le prend pas dans notre lit." On disait crânement l'oeil cerné.

    Et un jour on en a eu assez, les nuits sans sommeil avaient eu raison de notre raison : on a pris Milou dans LE lit parental. 

    Ca fait trois ans que ça dure. 
    Une heure ou toute la nuit. 

    (Vivement qu'on passe au lit en 180)

     

    enfant veut dormir avec ses parents,enfant dort dans le lit de ses parents

    Je vous rassure, je suis bien moins poilue.