Bobos : on ne quitte pas son kit...

 

Aujourd’hui, chers téléspectateurs, parlons petits bobos de la vie.

Enfin de la vie, des doigts surtout.

Et des fois des mains aussi. Et des pieds.

Simone, ici présente,  a la fâcheuse habitude d’oublier sa manique pour retirer sa tarte du four. (Oui, je vous le concède en Off, Simone n’est pas bien maligne. Elle est surtout blonde).

Et à chaque fois c’est le drame. Quelques jurons peu élégants sortent de sa bouche. Ce qui déplaît fort à Jean-Albert son mari.

Il a bien essayé de stationner devant le four AVEC les indispensables maniques afin de prévenir tout risque de brûlures (il aurait pu aussi se charger de préparer le repas, mais rappelons que Jean-Albert est un homme).

Non, au lieu de cela, il a offert à sa tendre et grossière épouse une solution magique.

Ainsi, à chaque fois que Simone se brûle l’index en faisant cuire ses steaks (oui ça lui arrive aussi avec la poêle), Jean-Albert dégaine le kit de soins pour brûlures de DermaPlast.

Mais qu’est-ce donc ce kit ?

C’est une petite boite jaune (comme la couleur des cheveux de Simone) exclusivement vendue en pharmacie qui stoppe net la brûlure et les gros mots. D’abord Simone se nettoie les mains avec une lingette pour éviter la contamination de la plaie (cette lingette est fort pratique quand le couple est invité pour un barbecue chez des amis et que Simone s’est encore portée volontaire pour piquer les saucisses). Ensuite, elle applique la solution physiologique (fournie aussi) (toujours pratique si on ne peut pas refroidir la blessure sous l’eau). Puis Jean-Albert lui applique le pansements brûlure qui rafraîchit et apaise la douleur.

Le soir, avant la douche, Simone pourra le retirer sans douleur.

Mais ce que cette histoire ne vous dit pas c’est que Jean-Albert a aussi ses petits travers. Et notamment, il se met à râler dès qu’il porte des chaussures neuves parce qu’il a des ampoules. Alors, Simone, désespérant de le voir chaussé de ses vieilles grolles, lui a offert une solution magique : le kit de soin ampoules de Dermaplast ! Comme son confrère « brûlures », il permet à Jean-Albert de faire de longues randonnées. Il l’emporte dans son sac à dos et dès que la méchante ampoule surgit il dégaine le kit :  lingette nettoyante pour se laver les mains, solution physiologique, sachet de compresses pour nettoyer la plaie, pansements ampoules talon et même des pansements ampoules doigts (pour les soirées guitare au coin du feu) et orteils  pour recouvrir et protéger la plaie (là je vois pas).

Depuis l’arrivée des ces kits, ils vivent heureux, sans gros mots et avec de nouvelles chaussures. Ils ont même conseillé à Evelyne qui se coupe toujours quand elle épluche les légumes pour la soupe, le kit… coupures.

 

La suite des aventures et toutes les infos sur www.dermaplast.fr

Article sponsorisé

Le billet pas mimi du dimanche soir

Pierrafeu s'est fait très mal au pied aujourd'hui.

Il s'est pris un bloc genre bordure de trottoir sur le pied. Il a eu le gros doigt de pied très abimé : plus d'ongle et des points de suture.

Il a peur de poser le pied à terre et souffre au moindre effleurement. 

On est bon pour les pansements tous les soirs. Il déguste beaucoup.

Aujourd'hui on aurait mieux fait de rester au lit avec les associés même si on a qu'un lit 140x210. Les garder tous au chaud avec nous. Et à part quelques pieds dans la tronche et coups dans les côtes, on ne risquait pas grand chose.

Mais, non comme tous les week-end, Milou a débarqué à 8 heures pour réclamer son déjeuner. "Et pas un petit, hein Papa, non, un grand déjeuner." 

Très vite, les associés sont allés jouer dehors. Et très vite Zorro est venu me chercher en criant "Vite Maman, viens aider Papa, Pierrafeu a le pied en sang".

GLOUPS

"Aide, moi Sabine, tiens lui le pied!"

Quand j'ai vu le pied, enfin le gros doigt de pied, explosé j'ai été d'une grande utilité: "oh putain, oh putain, qu'est-ce qui se passe! Je vais tomber dans les pommes."

J'ai rassuré comme j'ai pu Pierrafeu et ils sont partis aux Urgences.

Bien sûr j'ai pensé à l'amputation, c'est mon côté "j'en fais pas trop".

Et ils sont rentrés. 

"On aurait mieux fait de rester au lit" j'ai dit à Pierrafeu avec un demi sourire. 

"Bah, moi demain, j'y reste!"

Oui ça c'est certain mon lapin, demain je te garde avec moi...

Le magazine féminin et la réalité...

Ce que j’aime bien dans les magazines féminins c’est qu’ils sont bourrés d’actifs antioxydants, rien qu’en les lisant tu rajeunis.  Il est vrai qu’ils sont un peu relou avec leur détox trois, quatre fois par an et j’attends impatiemment la détox version mec :

-éliminer la bière pendant deux jours

-stopper les cacahuètes au petit déjeuner

-faire du sport à chaque occasion comme par exemple, se lever pour changer de chaîne.

Mais ce que j’espère encore plus c’est qu’un jour il y ait des vrais gens.

Car bien que blonde, je ne suis pas complètement bête. Je sais que ça fait partie du jeu, l’affichage de fringues hors de prix et surtout importables, l’étalage de crèmes de beauté qu’on ne trouve qu’aux «States» et celles françaises à 1000 € le litre, les régimes avec des filles anorexiques en illustration, les interview de stars qui viennent toutes d’un milieu modeste et qui vraiment sont arrivées au cinéma, à la chanson ou à la télé réalité « par hasard » et qui n’ont qu’un secret « le travail ».

Oui, tout ça je le sais. 

Et d’ailleurs c’est parce que j’en ai eu marre de tout ça que je me suis abonnée à Causette. 

Mais de temps en temps, je ne peux pas m’empêcher de replonger. Ne serait–ce que pour twister mon look so basic (ou casual ?) ou pour perdre 3KG avant ET après les fêtes en bouffant des graines germées gorgées de minéraux.

Pour mon dernier plongeon, j’ai acheté le N° de ELLE, où est interviewée Marlène Schiappa.  Après avoir lu l’article en question j’ai parcouru le mag et suis restée sur le cul à la lecture de la rubrique « Beauté, vive le rituel ». Des témoignages de femmes « ordinaires » sur leurs manies en matière de soin du corps, histoire que les lectrices s’aident de cet article pour s’organiser et arrêtent de terminer leur « make up » dans le métro.

Déjà, moi j’ai pas de métro. Et surtout je suis loin d’être une rédactrice de mode, une attachée de presse, une directrice d’agence de com, une directrice de casting ou une comédienne/chanteuse. (Que des filles ordinaires, donc)

Genre, je ne vais pas au club de sport tous les dimanches aprem, club où un de nos témoins ordinaires fait quelques longueurs dans la piscine après la gym, puis se fait masser et enfin passe au salon de coiffure du club et en sort avec un beau brushing, "prête à attaquer la semaine". 

Et encore MOINS : je ne change pas de vernis tous les jours en fonction de ma tenue comme une autre de ces femmes ordinaires.

  

IN.CRO.YABLE. Euh, pardon UN.BE.LIE.VA.BLE

 

Je ne mets jamais de vernis. 

Par contre à force de lire que le démaquillage c'est hyper important pour sauver ta peau MEME si t'es pas maquillée (comme moi), je le fais. 

(Presque un soir sur deux!)

Et je bois de l'eau tiède citronnée tous les matins pour me purifier.

A jeun of course.

Et après je me fais un jus de légumes, un yaourt au lait de chèvre et une tartine de pain complet.

Et puis j'embrasse les enfants avant que la nounou ne les emmène à l'école.

LA vraie vie quoi!